Passez un week-end à Nice et bénéficiez d’un séjour pas cher

À Nice, on profite de la terre et de l’eau ! Ici, ce sont les paillettes, l’harmonie et l’avant-gardisme qui rappelle l’ardeur d’un passé et donnent l’expectative au futur !

Découvrez les meilleurs livres et guides touristiques pour partir visiter Nice et la France. Nice regorge d’activités et d’attractions à ne pas manquer lors d’un séjour dans la ville : la cathédrale Sainte-Réparate, le Chef d’oeuvre baroque du Vieux-Nice, l’Eglise du Gésu, le jardin de la promenade du Paillon, le musée internatinal d’art naïf, etc.

La promenade des Anglais, les retraités à chien-chien, le carnaval et sa bataille de fleurs… Ce sont des cartes postales typiques à Nice ! Mais attention, mettons de côté immédiatement le cliché d’une Nice paisible que jadis se faisait passer pour un haut lieu de villégiature pour fortunés, et cela, jusqu’à la fin du XIXe siècle.

Les aristocrates russes et autres couronnes, les noblesses Anglaise… Tous au placard ! On en parlera un jour dans un livre d’histoire, si ce n’est déjà fait !

Coincée entre la mer et les collines, Nice reste le centre Urbain de la cote d’azur, un peu démesurée désormais.

Miami est en jumelage avec Nice, excellent choix, puisque bars branchés, rollers sur la Promenade, Buildings en verre et acier… De part et d’autre, on retrouve le même cadre. On compare Nice au rêve Californien, mais la Floride lui va mieux ! Nice, ville branchée, moderne, emplie d’ambitions émanant de l’Europe, mais n’oublions pas sont coté historique.

Quartiers à fort caractère laissé par les personnalités qui y ont séjourné, le vieux Nice avec ses édifices Belle Époque, des traces de Cimiez ou du mont Boron, les musées exceptionnels, la Promenade bien vivante, une baie aux contours parfaitement dessinés, puis on passe de l’eau à la terre, en se faufilant vers la campagne provençale, accrochée aux collines dans laquelle quelques vignerons subsistent, paisiblement.

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Les activités à Nice

Le carnaval de Nice, toute une histoire
Cet évènement fut créé à la suite d’une visite à Nice de l’empereur brésilien Pedro II, en 1888, depuis il est devenu aussi important que le Carnaval de Rio. On commence à en parler en 1294, donc le Carnaval de Nice est bien plus vieux que l’on ne croit. Le Carnaval de Nice est une fête païenne, qui quelques fois pouvait provoquer un débordement, l’église se chargeait alors de canaliser cela, mais parfois en vain ! Les abbés, dansaient et se déguisaient même sous l’interdiction de leur église.

Charivari sous les fenêtres des veuves qui ont à nouveau prix époux, mais aussi sur les fenêtres es jeune mariés, voilà le déroulement du carnaval du Moyen-âge, puis en 1539, les abbés sont carrément traités de fous par les syndics de la ville de Nice qui étaient chargés d’organiser et canaliser le Carnaval de l’époque.

À l’époque, le carnaval se fêtait par classes sociales, chacune se voyant attribuer une salle de bal dans le château perché sur le rocher, noblesse, marchants, artisans-ouvriers et pêcheurs, le mélange était possible à condition d’avoir le déguisement convenable.

Puis au XVIIIe siècle, la population croissante, les rues de la vieille ville se font très petites pour accueillir ces personnages déguisés, cet alors que l’on commence à privilégier les salons privés, le carnaval de l’époque, ressemble étrangement à celui de Venise.

Second Empire arrivant, on fonce assister au carnaval sur la place de la Préfecture et la rue Saint-François de Paule, ici, on pouvait se lancer des confettis colorés, fleurs, cigares, un spectacle splendide.

En 1830, ce sont les défilés de Chars, puis en 1876, on assiste à la première bataille de fleurs. Certes si l’on revient sur les dernières années, on retrouve pas mal de poussière sur le Carnaval d’aujourd’hui, même rituel qui subsiste depuis le XIXe siècle : les rues s’emplissent de fanfares, beaucoup de chars, et des grosses têtes conçus par les dessinateurs à la mode.

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Quant à Sa Majesté Carnaval, elle reste sur le trône dans promenade des Anglais e puis on la brûle sur place, lorsque la festivité touche à sa fin.

Les plages
Pas moins de 8 km de plages publiques et gratuites, ici les plages sont recouvertes de galets gris et blanc, pas trop confortables, c’est ce que vous vous dites, méfiez-vous des apparences ! Puis voyons le bon côté de choses, plus de sable dans à l’intérieur de la chaussure, lorsque vous repartez en ville ! Oui parce que les plages à Nice se trouvent en ville.

Depuis la cour Saleya, située dans la vieille ville, il suffit de traverser le quai pour dérouler sa serviette sur la plage de Beau Rivage. Bon, c’est sur elle est souvent bien remplie, mais on y est si bien que même un tout petit coin de cette plage, ferait l’affaire. Une plage, tout confort, la baignade y est surveillée, des toilettes et douches chaudes, un terrain de beach-volley cette fois en sable, ouf !

Une autre plage celle du Centenaire qui se trouve face au jardin Albert-Ier, celle-ci est accessible aux handicapés, des jeux pour enfants avec du sable, puis deux terrains de beach-volley, on y retrouve les toilettes douches chaudes et aussi des consignes.

La plage du forum qui se trouve vers le boulevard Gambetta, puis la plage Lenval qui se situe face à l’hôpital portant le même nom. Après on retrouve quelque plages qui elles, sont privées, on les reconnait aux portiques typiques à Nice, dont voici quelques-unes :

Le Castel Plage, dirigez-vous vers le bas du quai des États-Unis, facile à situer, puisqu’elle se trouve face à l’hôtel La Pérouse. À ce qu’il parait cette dernière est la favorite des niçois, mais pas la plus chic.

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la première place revient à la Blue Beach située à hauteur de l’hôtel West-End. La plage du Neptune présente un décor du XXe siècle et elle se trouve face au Negresco. Puis Hi Beach, récemment lancée par l’équipe du Hi Hôtel.

Petites recommandations : Mieux vaut porter de nouilles lors de la baignade, car en sortant le galet se bat avec le pied, puis dans les plages de Nice, on perd pied très rapidement, alors ayez l’œil sur vos enfants !

Les écoles de Nice
Nouveau réalisme, voilà le nom de baptême pour l’école de Nice, elle est très connue dans le monde, d’ailleurs bien plus ailleurs qu’en France !

Arman, César, Yves Klein, Martial Raysse, Daniel Spoerri… Y ont fait leurs études, de grands artistes qui ont eu comme compagnon, un peu plus tard Niki de Saint-Phalle et l’ « emballeur » Christo.

L’école naît fin 1950, cette action fut réservée par un proclamation signée par le critique Pierre Restany qui s’est vu dissout en 1970. Yves Klein fut le principal initiateur de ce mouvement, il y redéfinit la peinture comme une stérilisation permanente. Le vide et le ciel y furent exposés, ainsi que de peinture à lance flammes.

Le pape de l’art contemporain, Marcel Duchamp, Restany qui racontaient la poésie d’une civilisation urbaine, quelques-uns ont défini ce mouvement comme étant du pop art à l’américaine !

Mais la définition, la plus marquante reste celle de Martial Raysse : « La théorie de l’école de Nice, c’est que la vie est plus belle que tout ».

Fin des années 1960, naît un autre mouvement à Nice, mais aussi à Monpelier : on parle de Support(s) Surface(s).

L’attention de ses artistes se tourne vers les composants du tableau comme la toile, son envers, sa texture… Les techniques adoptées sont délibérément modestes. Ce mouvement fut dissous en 1970, ces membres furent Claude Viallat, Louis Cane, Daniel Dezeuze, Christian Jaccard et Jean-Pierre Pincemin.

Ben, très connu pour ses happenings et ses tableaux graffitis. Nul besoin d’évoquer l’art local !

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